M. Carrez a eu raison de le souligner : jamais discussion budgétaire n’avait été aussi courte. Il y a une raison à cela : il n’y avait rien dans ce projet de loi de finances, hormis des cadeaux aux plus riches. Tout au long de ces cinq semaines de discussion, nous vous avons alertés, madame et messieurs les (…)
EXPOSÉ DES MOTIFS Mesdames, Messieurs, Conduite à examiner le 17 janvier dernier une première proposition de création de commission d’enquête sur la place et le rôle des fonds d’investissement dans l’économie, présentée par les députés communistes et républicains, la commission des finances en avait rejeté le (…)
M. le président. La parole est à M. Pierre Gosnat, pour le groupe de la Gauche démocrate et républicaine. M. Pierre Gosnat. Monsieur le président, ma question s’adresse à M. le Premier ministre et j’attends qu’il y réponde personnellement. (Exclamations sur les bancs du groupe de l’Union pour un mouvement (…)
M. le président. La parole est à M. Jean-Pierre Brard, pour le groupe de la Gauche démocrate et républicaine. M. Jean-Pierre Brard. Monsieur le Premier ministre, vous avez dit que l’État était en faillite. Ce qui est vrai, c’est que vous êtes en train de conduire les Français les plus modestes à la faillite. Vous (…)
EXPOSÉ DES MOTIFS Mesdames, Messieurs, L’Imprimerie nationale constitue un atout industriel et culturel pour Paris et la France. Malgré son changement de statut en 1994, l’Imprimerie nationale est toujours propriété à 100 % de l’État, qui est l’unique actionnaire. Elle a toujours vocation à remplir des missions de (…)
Monsieur le Président, Madame la Ministre, Monsieur le Ministre, Chers Collègues, Un des plus grands économistes français a écrit récemment « Nous avons à faire à un capitalisme sans projet, qui ne fait rien d’utile de ses milliards, qui n’investit guère, qui ne prépare pas assez l’avenir. L’argent coule à flots (…)
Monsieur le ministre du budget, le Premier ministre s’est récemment illustré en annonçant sans ménagement que la France était en faillite. Voilà pourtant que quelques jours plus tard on nous présente un budget de routine, un budget de croisière dans un pays morne, croisière luxueuse pour les riches, pendant que les (…)
EXPOSÉ DES MOTIFS Mesdames, Messieurs, Les « affaires » défraient, une nouvelle fois, la chronique : UIMM, EADS. Il serait aisé de considérer que nous sommes face à des faits certes graves mais marginaux dans notre société et qu’il conviendrait d’attendre que la justice passe. En l’occurrence sont impliqués les (…)
M. le président. La parole est à M. Jean-Claude Sandrier, pour le groupe de la Gauche démocrate et républicaine. M. Jean-Claude Sandrier. Monsieur le Premier ministre, non content d’avoir parlé de « faillite » après avoir fait, pour l’essentiel aux plus riches, un cadeau fiscal de 15 milliards d’euros, vous abusez (…)
M. le président. La parole est à M. Alain Bocquet, pour le groupe de la Gauche démocrate et républicaine. M. Alain Bocquet. Monsieur le Premier ministre, le Président de la République déclare vouloir réformer comme jamais on ne l’a fait depuis la Libération. C’est vrai. (Applaudissements sur plusieurs bancs du (…)
Jean-Victor Castor interroge le gouvernement l’eau du robinet, devenue un risque permanent pour la santé des Guyanais.
"Pourquoi les Guyanais n’ont pas été informés dès les premiers dépassements de seuil ? L’Etat déroge régulièrement aux règles quand il s’agit des pays dits d’Outremer, pourtant l’accès à l’eau potable est un droit, pas un privilège !"
Edouard Bénard constate "l’échec cuisant d’un modèle d’apprentissage pensé pour le patronat" qui survit grâce aux exonérations de cotisations sociales, mais déplore "le coût" d’une leur suppression brutale pour les jeunes concernés, utilisés comme variable d’ajustement.
"Soit les apprentis sont considérés comme des travailleurs, sont payés dignement et nous œuvrons à en clarifier le cadre légal, soit c’est à l’école et dans les ateliers qu’ils doivent apprendre leurs métiers.
Pour cela, il nous faut une vision, il nous faut une perspective, quelle est la vôtre ?"