Les élu-e-s communistes et républicains demandent la taxation des stocks-options pour financer le Revenu de Solidarité Active (RSA). Ils défendront un amendement en ce sens lors du débat qui s’ouvrira mercredi à l’Assemblée nationale. Il s’agit ainsi d’asseoir le financement du RSA sur un authentique dispositif (…)
Les député-e-s communistes et républicains demandent un débat sur la crise financière mondiale et les mesures de relance économique par l’Union européenne et la France. La crise financière qui secoue le monde est la dernière manifestation d’un capitalisme porté par une idéologie néolibérale dont le prix Nobel (…)
Les député-e-s communistes et républicains demandent un débat sur la crise financière mondiale et les mesures de relance économique par l’Union européenne et la France. La crise financière qui secoue le monde est la dernière manifestation d’un capitalisme porté par une idéologie néolibérale dont le prix Nobel (…)
EXPOSÉ DES MOTIFS Mesdames, Messieurs, Dans son discours de Toulon, le 25 septembre dernier, le président de la République, renonçant au thème de l’État modeste, a déclaré : « La crise devrait amener à une restructuration de grande ampleur de tout le secteur bancaire mondial. Compte tenu de ce qui vient de se (…)
Monsieur le président, monsieur le ministre, la méthode de travail a été améliorée, il n’y a pas de doute. Le président de la commission des finances et le rapporteur général l’ont évoqué. Mais qu’en est-il du contenu ? Nous sommes sous un régime où l’on a une imagination débordante pour dénommer les ministères. Il (…)
Monsieur le Président, Madame la ministre, Chers collègues, Il y a quelques mois à peine, en octobre dernier, le Président de la République avait appelé de ses voeux la mise en place d’un plan de stimulation de l’investissement privé dans le secteur public. Le texte qui nous est présenté aujourd’hui n’a d’autre (…)
M. le président. La parole est à M. André Chassaigne, pour le groupe de la Gauche démocrate et républicaine. M. André Chassaigne. Monsieur le président, mesdames et messieurs les ministres, chers collègues, ma question s’adresse à M. le Premier ministre. Comme vous, monsieur le Premier ministre, et comme la plupart (…)
EXPOSÉ DES MOTIFS Mesdames, Messieurs, Depuis plusieurs mois, la crise des « subprimes » – prêts hypothécaires à risques – affecte l’ensemble du système financier international. L’opacité est telle que les autorités publiques ignorent l’ampleur des implications des banques dans cette crise, ce qui signifie que les (…)
Monsieur le Président, Madame et Messieurs les Ministres, Le projet de Loi de Finances pour 2008 que vous nous présentez aujourd’hui prolonge, avec plus de force encore, la véritable révolution conservatrice qui a été engagée depuis quelques années. Il y a quelques jours, l’une des éminences grises du patronat (…)
M. Carrez a eu raison de le souligner : jamais discussion budgétaire n’avait été aussi courte. Il y a une raison à cela : il n’y avait rien dans ce projet de loi de finances, hormis des cadeaux aux plus riches. Tout au long de ces cinq semaines de discussion, nous vous avons alertés, madame et messieurs les (…)
Loi Duplomb : explication de vote de Julien Brugerolles du 8 juillet 2025 (CMP)
"Plutôt que de chercher un chemin politique pour sortir nos paysans de l’étau de la libéralisation des échanges internationaux et de la pression exercée par les grands industriels et distributeurs, qui les broient, plutôt que d’installer de nouveaux outils publics de régulation des marchés, plutôt que d’accompagner techniquement et financièrement les agriculteurs dans le grand chantier de la transformation agroécologique de nos systèmes de production – seule réponse durable qui pourrait leur ouvrir des perspectives –, vous cherchez à sauver les apparences. Vous faites diversion en réautorisant certaines molécules interdites ou en faisant croire que l’affaiblissement du droit environnemental permettra de faire face au défi climatique et aux menaces de la grande mise en concurrence des producteurs au niveau international."
Colère et indignation de Stephane Peu après les accusations portées par François Bayrou à l’encontre de la gauche.
"Ne dites pas à quelqu’un comme moi ou à mes collègues que nous ne connaissons pas le monde du travail. Toute ma famille a commencé à travailler à 16 ans. Je vous invite à venir les rencontrer pour savoir ce qu’est le monde du travail !"