M. le président. La parole est à M. André Gerin, pour le groupe de la Gauche démocrate et républicaine. M. André Gerin. Ma question s’adresse à M. le Premier ministre. Notre industrie est aux abois. Des milliers d’emplois disparaissent chaque jour. La recherche et la formation sont mises à mal. Un plan de relance (…)
M. le président. La parole est à M. Pierre Gosnat, pour le groupe de la Gauche démocrate et républicaine. M. Pierre Gosnat. Ma question s’adresse au Premier ministre. Demain, des millions de Français défileront dans la rue, unis comme ils l’ont été le 29 janvier dernier, pour exiger un véritable plan de relance (…)
EXPOSE DES MOTIFS Mesdames, Messieurs, La crise économique révèle au grand public la nature profonde du système économique : celui-ci est prédateur, brutal, vorace. Dans les entreprises, les choix stratégiques sont dictés par les directions sous la coupe des propriétaires des capitaux. La force de travail, (…)
Il s’agit, madame la ministre, de se prononcer sur un texte a priori prometteur puisqu’il est relatif à l’hôpital, aux patients, à la santé et aux territoires. Alors que l’insuffisance du nombre de médecins et de soignants formés, les fermetures de lits, l’asphyxie financière des hôpitaux publics et l’empilement de (…)
Mme la présidente. La parole est à M. Marc Dolez, pour le groupe de la Gauche démocrate et républicaine. M. Marc Dolez. Monsieur le Premier ministre, chaque jour, des centaines ou des milliers de licenciements sont annoncés. Les prévisions sont catastrophiques. Mais il n’y a pas de fatalité du chômage et de la (…)
M. le président. La parole est à M. Jean-Paul Lecoq, pour le groupe de la Gauche démocrate et républicaine. M. Jean-Paul Lecoq. Monsieur le Premier ministre, avec l’annonce de 90 200 chômeurs de plus au mois de janvier, soit, excusez du peu, 3 000 suppressions d’emplois par jour, et la prévision de croissance du (…)
EXPOSE DES MOTIFS Mesdames, Messieurs, Le principe de base de l’assurance décès – ou capital décès – du régime général de sécurité sociale est depuis son origine de garantir une indemnité de premier secours à la famille survivante de l’assuré-e décédé-e pour que celle-ci puisse faire face aux difficultés (…)
Casser le service public de santé au seul profit du secteur privé lucratif, c’est l’objectif poursuivi avec le projet de loi portant réforme de l’hôpital, dont l’examen reprend aujourd’hui. Sous couvert de rationalisation des moyens, les dispositions déjà adoptées par la majorité de l’Assemblée vont notamment (…)
L’attitude méprisante du gouvernement à l’égard des salariés et des habitants de la Guadeloupe vient de faire un mort. Jacques Bino, syndicaliste CGT a été victime de ce refus d’entendre l’exaspération de tout un peuple dont les souffrances sont plus grandes encore en outre-mer qu’en métropole. La volonté du (…)
Monsieur le président, madame la ministre, mes chers collègues, je ne reviendrai pas sur l’ensemble de ce projet, mais je me contenterai, durant les cinq ou six minutes qui me sont attribuées, de pointer une carence notable pour l’élu de zone rurale que je suis : la prise en compte à leur juste mesure des problèmes (…)
Loi Duplomb : explication de vote de Julien Brugerolles du 8 juillet 2025 (CMP)
"Plutôt que de chercher un chemin politique pour sortir nos paysans de l’étau de la libéralisation des échanges internationaux et de la pression exercée par les grands industriels et distributeurs, qui les broient, plutôt que d’installer de nouveaux outils publics de régulation des marchés, plutôt que d’accompagner techniquement et financièrement les agriculteurs dans le grand chantier de la transformation agroécologique de nos systèmes de production – seule réponse durable qui pourrait leur ouvrir des perspectives –, vous cherchez à sauver les apparences. Vous faites diversion en réautorisant certaines molécules interdites ou en faisant croire que l’affaiblissement du droit environnemental permettra de faire face au défi climatique et aux menaces de la grande mise en concurrence des producteurs au niveau international."
Colère et indignation de Stephane Peu après les accusations portées par François Bayrou à l’encontre de la gauche.
"Ne dites pas à quelqu’un comme moi ou à mes collègues que nous ne connaissons pas le monde du travail. Toute ma famille a commencé à travailler à 16 ans. Je vous invite à venir les rencontrer pour savoir ce qu’est le monde du travail !"