Questions au gouvernement Violences urbaines et école
- par Stéphane Peu
Dans son immense majorité, le pays a exprimé son indignation devant la mort du jeune Nahel à Nanterre. Dans le même temps, il a dit sa colère devant les violences et les destructions inacceptables. L’heure doit être à l’apaisement. Mais les appels à l’unité et à la fermeté ne suffiront pas, aussi indispensables soient-ils. Le 4 juillet, Stéphane Peu l’a rappelé : « Non, il n’y a pas de territoires perdus de la République ; il n’y a que des territoires que la République abandonne ! ». Depuis 2005, hormis la rénovation urbaine, tout s’est dégradé dans certains territoires, notamment l’école.
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