Depuis plus de huit semaines, la France est engagée militairement en Libye où les combats continuent de faire rage. La guerre a déjà fait des milliers de morts selon le procureur de la Cour pénale internationale, Luis Moreno-Ocampo. Dans un courrier adressé au Premier Ministre, Roland Muzeau, porte-parole des (…)
EXPOSÉ DES MOTIFS Mesdames, Messieurs, Pendant la Seconde Guerre mondiale, les populations du voyage ont vécu l’enfer. D’octobre 1939 avec les premières déportations de Tziganes d’Autriche puis la création d’un camp d’internement de Tziganes à Leopoldkrom près de Salzbourg, au 27 février 1945 avec l’évacuation de (…)
EXPOSE DES MOTIFS Mesdames, Messieurs, La présente proposition de loi reprend fidèlement la proposition de loi n° 3714 déposée par M. Frédéric Dutoit, cosignée par les député-e-s communistes et républicains, enregistrée à la Présidence de l’Assemblée nationale le 15 février 2007. Pendant la Seconde Guerre mondiale, (…)
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, je tiens avant tout à saluer la qualité du rapport présenté par notre collègue Christiane Taubira. Il nous a permis, lors de la réunion de la commission des affaires étrangères, d’avoir un débat très riche sur le sens des accords internationaux et de (…)
M. le président. La parole est à M. Jean-Paul Lecoq, pour le groupe de la Gauche démocrate et républicaine. M. Jean-Paul Lecoq. Ma question s’adresse à Alain Juppé, ministre des affaires étrangères. En précipitant l’organisation des élections dans un pays déchiré, la communauté internationale, et la France en (…)
M. le président. La parole est à M. Jean-Paul Lecoq, pour le groupe de la Gauche démocrate et républicaine. M. Jean-Paul Lecoq. Monsieur le ministre d’État, ministre des affaires étrangères et européennes, votre réponse d’hier a tout lieu de nous inquiéter. Vous avez en effet affirmé que votre rôle sera « tout (…)
M. le président. La parole est à M. François Asensi, pour le groupe de la Gauche démocrate et républicaine. M. François Asensi. De la Tunisie à l’Égypte, l’exigence de liberté mobilise l’ensemble du monde arabe dans sa diversité. Cette même exigence guide le peuple palestinien, soutenu par de nombreux pacifistes (…)
Après la fuite du Président tunisien Ben Ali, les autorités françaises se sont enfin décidées à sortir de leur mutisme complice. Aujourd’hui, opérant une pitoyable marche arrière, le président de la République en appelle à des élections libres en Tunisie. Les déclarations de Nicolas Sarkozy et ses promesses (…)
En Tunisie, le mouvement de contestation sociale s’amplifie, la répression aussi. L’état de siège a été instauré à Tunis et les tirs contre les manifestants ont déjà fait près de soixante morts. C’est insupportable ! La violence d’Etat est la seule réponse opposée par le Président Ben Ali aux femmes et aux hommes, (…)
M. le président. La parole est à M. Jean-Paul Lecoq, pour le groupe de la Gauche démocrate et républicaine. M. Jean-Paul Lecoq. Monsieur le président, monsieur le Premier ministre, madame la ministre des affaires étrangères, mes chers collègues, notre groupe partage les sentiments qui se sont exprimés à l’égard des (…)
Loi Duplomb : explication de vote de Julien Brugerolles du 8 juillet 2025 (CMP)
"Plutôt que de chercher un chemin politique pour sortir nos paysans de l’étau de la libéralisation des échanges internationaux et de la pression exercée par les grands industriels et distributeurs, qui les broient, plutôt que d’installer de nouveaux outils publics de régulation des marchés, plutôt que d’accompagner techniquement et financièrement les agriculteurs dans le grand chantier de la transformation agroécologique de nos systèmes de production – seule réponse durable qui pourrait leur ouvrir des perspectives –, vous cherchez à sauver les apparences. Vous faites diversion en réautorisant certaines molécules interdites ou en faisant croire que l’affaiblissement du droit environnemental permettra de faire face au défi climatique et aux menaces de la grande mise en concurrence des producteurs au niveau international."
Colère et indignation de Stephane Peu après les accusations portées par François Bayrou à l’encontre de la gauche.
"Ne dites pas à quelqu’un comme moi ou à mes collègues que nous ne connaissons pas le monde du travail. Toute ma famille a commencé à travailler à 16 ans. Je vous invite à venir les rencontrer pour savoir ce qu’est le monde du travail !"