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Lettre des députés Les mercenaires de la finance, lettre d’avril 2024

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Edito d’André Chassaigne, lettre des députés, avril 2024
Le déficit public de la France a atteint 5,5% du produit intérieur brut (PIB) sur l’année 2023, contre les 4,9% prévus par le budget imposé au Parlement à l’automne. Une véritable sortie de piste pas totalement inattendue tant les prévisions du gouvernement étaient optimistes. Le Haut Conseil des finances publiques avait d’ailleurs appelé à une forme (...)

Questions au gouvernement « Votre choix de déclarer la guerre sociale au pays est irresponsable »

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Non content de décider seul, le gouvernement veut maintenant faire assumer à tous les Français ses erreurs en matière de politique budgétaire. Il parle d’"efforts partagés" pour vendre son plan d’austérité, tout en désignant des boucs émissaires pour éviter tout débat sur une justice fiscale qui mettrait à contribution les ultrariches. Sébastien Jumel a prévenu : la gauche saura se rassembler pour censurer le gouvernement !

Pouvoir d’achat A quand une contribution des ultras riches ?

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Qu’est ce qui change pour les Français en ce mois d’avril ? D’abord et pour la première fois, le prix du charriot de courses que remplit La Voix du Nord (L’orateur montre un document.) chaque année depuis 2008 a dépassé le seuil de 150 euros.
Garni des mêmes produits, ce charriot coûtait 130 euros il y a encore deux ans.
Le prix du carburant repart à la hausse, avec la fin de l’opération « prix (...)

Questions au gouvernement Non au choc des savoirs, oui à plus de moyens !

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Le 2 avril, Édouard Bénard s’est fait le relais de la mobilisation des enseignants, chercheurs et parents d’élèves qui s’opposent massivement à la réforme dite du choc des savoirs qui n’aura d’autre effet que d’aggraver des inégalités sociales. Une réforme qui ne répond à aucune attente alors que depuis des mois les enseignants demandent une revalorisation salariale sans contrepartie et des moyens pour l’éducation publique.

Communiqués de presse Finances publiques : un gouvernement qui décide seul, doit assumer seul

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La gestion budgétaire du gouvernement plonge les finances publiques dans une situation alarmante. Après 7 années aux responsabilités, le ministre de l’Économie B. Le Maire dissimule la réalité et contourne le Parlement. Il se contente d’inviter les groupes parlementaires à une réunion de travail sur les finances publiques le jeudi 28 mars. Nous ne nous y rendrons pas.
L’incurie budgétaire, soulignée (...)

Questions au gouvernement « Vous avez peur de la voix du peuple ; nous la défendrons quoi qu’il en coûte »

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Suite au rejet du Ceta par le Sénat, le gouvernement n’a pas caché sa volonté de tout faire pour empêcher la représentation nationale de se prononcer sur ce Traité. Ce déni démocratique n’est pas acceptable. Dont acte ! Nous avons inscrit, le 30 mai prochain, dans notre niche parlementaire, un texte sur le Ceta pour contraindre le gouvernement à poursuivre le processus démocratique.

Communiqués de presse Le gouvernement entrave la navette parlementaire pour empêcher le rejet du CETA

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Sébastien Jumel a interrogé le gouvernement sur la suite donnée au vote du Sénat, le jeudi 21 mars, qui a rejeté par un vote historique la ratification du CETA. Bloqué sur le bureau du Sénat par le Gouvernement depuis juillet 2019, ce projet de loi avait été mis à l’ordre du jour par les sénateurs communistes dans le cadre de leur niche parlementaire. Aujourd’hui, notre Parlement doit impérativement (...)

Communiqués de presse Notre groupe inscrira le CETA à l’ordre du jour de l’Assemblée le 30 mai

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Sept ans après l’entrée en vigueur « provisoire » de l’accord de libre échange entre l’Union européenne et le Canada, qui n’a jamais été ratifié par le Parlement, le Sénat vient par un vote historique de rejeter ce traité contre l’avis d’Emmanuel Macron.
Ce vote initié par les sénatrices et sénateurs communistes marque un tournant.
Il met en évidence que la majorité de nos concitoyens et de leurs (...)

Questions au gouvernement « Les salariés veulent qu’Ascometal vive »

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Le 19 mars, Pierre Dharréville a interpellé le gouvernement sur l’avenir du site Ascometal à Fos-sur-Mer, suite à la déclaration de son actionnaire Swiss Steel de se désengager. Il a notamment demandé que la puissance publique engage sa responsabilité pour garantir l’avenir de ce fleuron industriel en envisageant, le cas échéant, une nationalisation temporaire.

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